L’association Valdequint transforme des fruits

L’association Valdequint transforme des fruits

Parmi ses projets 2018, l’association Valdequint a mis l’accent sur ses projets alimentaires, notamment grâce au dynamisme de ses adhérents regroupés au sein de la commission « Gratte la terre ».

Composée d’une vingtaine d’habitants de la vallée de Quint, cette commission a des projets aussi divers que la construction de fours à pains citoyens dans les quatre villages de la vallée, la construction de bacs de culture, des achats groupés de plants et de composts mais aussi… le lancement d’une CUMA citoyenne.

Une CUMA ? C’est le sigle qui désigne les Coopératives d’Utilisation de Matériel Agricole.

Ici le projet n’est pas de mutualiser du matériel agricole, mais du matériel de transformation alimentaire. Avec le soutien financier de la fondation Bonduelle, l’association a acheté un broyeur à fruits, une presse à cliquet, des stérilisateurs, des séchoirs à fruits et légumes, une sorbetière et divers petits outils comme des dénoyauteurs ou des seaux alimentaires.

Ce matériel permet d’une part d’organiser des moments collectifs autour de la transformation alimentaire, mais peut également être emprunté à titre individuel et gratuit par tous les adhérents de l’association.

Une première session de transformation collective a été organisée début septembre, devant l’Epilibre, notre local associatif. Les adhérents ont pu préparer et déguster des sorbets de mûres, des pommes et figues séchées et surtout, du jus de pommes, poires et mirabelles fraîchement pressé .

Deux autres sessions collectives ont eu lieu à Saint-Étienne-en-Quint et Vachères-en-Quint, là aussi pour le plus grand plaisir des habitants !

Deux prochaines dates de transformation sont déjà prévues dans la vallée, et d’ici là, le matériel fait le bonheur des adhérents de l’association.

Comme quoi, le matériel de transformation, c’est bien, et encore plus lorsqu’il est mis en commun !

Une saison culturelle réussie pour Valdequint

Une saison culturelle réussie pour Valdequint

L’été touche à sa fin, c’est donc l’occasion pour Valdequint de regarder en arrière et de faire un petit bilan sur sa saison estivale. Le constat qui s’impose, c’est que cette saison a été riche de spectacles, de musique mais surtout, de rencontres et de convivialité !

Des spectacles ? Il y en a eu pour tous les âges !

Les enfants de la vallée ont pu profiter de la représentation ” Dans ma valise“, jouée sous le préau de l’école de Sainte-Croix à la mi-juillet, qui s’est terminée par un goûter partagé à l’ombre des arbres.

Les adultes aussi ont eu leur lot de culture, notamment avec la conférence gesticulée de Camille Pasquier sur le thème de l’éducation.

Au mois d’août, place aux ados avec la proposition de la compagnie des Hauts Parleurs, une lecture du “conte de l’île inconnue”. Et ce qu’il faut admettre, c’est que cette représentation a conquis bien plus que les ados présents !

Camille Pasquier lors de sa conférence gesticulée “Et baisse les yeux quand j’te parle”

La saison de Valdequint, c’était aussi de la musique ! Et ça a commencé avec des claquements de talons avec Las Almas qui nous proposait une immersion dans le monde sensible du flamenco, mêlant guitares, percussion, et les magnifiques danses flamenca !

Fin août, c’est avec la musique d’un artiste bien connue des Quintoux, Martin Middle M, que nous avons passé cette douce soirée d’été. Martin était invité pour la seconde année consécutive, tant il nous tenait à cœur d’encourager cet artiste local qui propose un folk-blues américain à la fois sensible et rythmique.

Enfin, au mois de septembre, c’est le son surprenant du steel drum qui a résonné à St-Julien-en-Quint. Le groupe Crestois Duo Rimes nous a proposé un concert intimiste, dans une ambiance chaleureuse et quelque peu exiguë (difficile de dépasser les 45 personnes dans le local l’Épilibre !).

Toutes ces soirées ont été agrémentées de mets cuisinés avec amour par les salariés et bénévoles de l’association. Assiettes végétariennes, paella, hot-dogs, hamburgers maison, le public s’est régalé !

Au-delà de la culture, la saison estivale de Valdequint a également permis des moments plus intimistes, dédiés à la rencontre et au partage. C’est notamment le cas des trois soirées “Ramène ta grillade”, qui ont toutes rencontré un franc succès. Le concept était des plus simples : Valdequint allume la braise, chacun apporte de quoi griller (viande et/ou légumes), et le tour était joué !

Cette ambiance conviviale, nous l’avons également retrouvée dans les soirées “Ramène ton film” et “Les apéros de l’asso” ! Tant de moments chaleureux faits pour rassembler, tout simplement ! 

Merci à tous ceux qui par leur présence ont fait de cette saison estivale ce qu’elle a été !

Ça bouge au Monastère

Ça bouge au Monastère

Au monastère tout avance en même temps. Les travaux de la cour, les préparatifs pour les groupes à accueillir dès le mois de mars, la programmation culturelle de la saison 2018/2019… Cela semble mené à un rythme effréné, alors que tout se fait dans le calme et la bonne humeur.

Donc : Les travaux. Pour des raisons d’accessibilité du site aux handicapés et pour assainir la cour où les eaux pluviales s’écoulaient dans des réseaux bouchés, il a fallu prévoir un aménagement général de la cour. Ces travaux en cours d’achèvement ont pu se faire grâce au financement participatif qui avait été lancé en décembre. (cf FdQ 28). Les eaux pluviales seront maintenant canalisées et récupérées pour arroser les jardins. Un pavage en pierre d’une belle couleur gris ocrée est en train de se mettre en place en périphérie de la cour rappelant les cloîtres des anciens monastères. Le chantier avance bon train et sera terminé au début du printemps pour l’arrivée des premiers groupes.

La programmation culturelle de l’année à venir est maintenant bouclée. Ce sont 13 spectacles qui sont annoncés au monastère à partir du 14 mars (chants d’Anatolie) jusqu’au 14 décembre où se produira un groupe de rock. Entre-temps auront été donnés un spectacle de cirque, de la musique classique, de la magie, du folk…un programme éclectique de grande qualité.

Et pendant ce temps 10 expositions auront été présentées dans les beaux couloirs du monastère. On y verra des peintures et des dessins, de la photographie, des sculptures… Sans compter les multiples résidences pour artistes qui seront accueillies au fil de l’année. Ce foisonnement d’activités, cette ouverture, se fait autant vers le monde comme en témoignent les pays d’origine des différents groupes qui sont hébergés au monastère que vers le territoire proche, artistes locaux et artisans de la vallée avec qui des liens étroits sont tissés.

Alors une seule consigne : n’hésitez pas, non pas à pousser la porte car elle est toujours ouverte, mais à venir, à entrer, à poser des questions, à participer.

Tous les renseignements sur le site du monastère : www.le­-monastere.org

Tél. : 04 ­75­ 21­ 22 ­06

Page facebook : ancienmonasteresaintecroix

L’équipe du Monastère

Histoire de maison : l’Auberge du Raisin

Histoire de maison : l’Auberge du Raisin

Une carte ancienne circule depuis longtemps à Sainte-­Croix représentant le haut du village, le quartier des Cimes. Depuis peu nous avons appris que cette carte avait été réalisée par Emile GAIDAN, pasteur à Sainte-Croix de 1880 à 1889. Ce passionné d’histoire a eu la chance de retrouver dans une maison du village 48 cartons d’archives de grande valeur pour Sainte­-Croix qu’il a transmis à la Bibliothèque Protestante de France
où ils se trouvent encore. La carte en question fait partie d’un de ces cartons et donne une vision du quartier des Cimes en 1664 … où l’on découvre ainsi l’auberge du Raisin !

Pour se rendre à l’ancienne auberge, il faut tourner à droite juste avant le temple dans une rue étroite qui aujourd’hui est l’impasse Bartarail, mais qui alors était la rue principale du village. L’auberge se trouve sur une placette à dix pas. Un passage voûté longeant l’arrière du temple et aujourd’hui obstrué, permet de rejoindre les routes qui mènent vers Beaufort et la Gervanne et vers la vallée de Quint. Sur ce lieu de passage connu et emprunté depuis l’époque romaine, l’auberge accueille les voyageurs, marchands, notables, artisans, aventuriers, colporteurs …. Un brassage social parfois très inattendu !

Les auberges de l’époque fournissent nourriture et gîte pour la nuit et on ne peut généralement y dormir sans manger. Un écriteau proche de l’enseigne prévient le client : « Qui dort dîne » … Une grande pièce réunit cuisine et salle à manger. En entrant, le voyageur prend connaissance des lieux, de l’ambiance, est rassuré ou non car la réputation des auberges se fait sur les chemins… Mais compte tenu du faible nombre d’auberges, le client n’a pas vraiment le choix…

Joël ARCHINARD, le patron de l’auberge accueille ses clients, demande au valet de s’occuper des chevaux s’il y a lieu et de les emmener à l’écurie en contrebas où ils recevront soins et nourriture pour une nuit  réparatrice. Il indique au voyageur la couche qui lui est attribuée et qu’il doit bien souvent partager avec d’autres voyageurs.

Le foyer rougeoyant a noirci un peu les murs de la grande salle au fil du temps, mais il  dégage une douce chaleur bien agréable après la pluie et le vent de la route. C’est dans le bruit des marmites et les odeurs de soupe que l’on s’assoit autour d’une des grandes tables rectangulaires à côté d’autres clients déjà installés. Une promiscuité qui délie les langues, qui donne envie d’échanger après une longue journée de marche. Ambiance enjouée ou tendue selon les convives…

Nul besoin de passer commande, le plat est unique. Il est posé au centre de la table et chacun se sert dans l’assiette de grès face à lui. Le voyageur sort son couteau, au besoin son sachet de sel et peut commencer son repas. Pas de fourchette bien sûr, ce petit outil de nos jours si pratique et indispensable commence à peine à être utilisé à Paris et à la cour du roi, il est donc encore loin d’avoir atteint Sainte­-Croix… on mange donc, selon la consistance du met, avec la pointe de son couteau ou à la cuillère ou mieux encore avec ses doigts.

Au menu, soupe ou brouet épais parfois enrichi de morceaux de lard, plus rarement viande en broche. Des mets considérés aujourd’hui comme raffinés et chers sont à l’époque très abordables dans nos régions car en abondance, l’écrevisse pêché dans la Sûre, la grive, le lièvre braconné en quelque endroit…

Et c’est dans cette ambiance reposante et conviviale que les langues se délient. On échange les dernières nouvelles, on refait le monde, on partage les avis… et bien sûr tout dernièrement on parle du sujet brûlant qui bouleverse le village. Tout le monde en parle dans la région, tout le monde est au courant, la décision a été prise par le présidial de Valence de faire disparaître le temple de Sainte-­Croix, de le détruire à jamais ! La révolte gronde, les discussions et appels à la résistance vont bon train, les esprits s’échauffent d’autant que des soldats du roi viennent d’arriver pour faire respecter cette décision royale et faire détruire l’édifice…

Et c’est ainsi que le 11 novembre 1664, dans la cohue et le tumulte d’une foule furieuse, composée en grande majorité de femmes, les soldats investissent l’auberge pour se retrancher de la vindicte populaire et se mettre à l’abri des pierres, des injures et des quolibets.

La résistance villageoise a momentanément gagné la partie… L’auberge du Raisin, depuis bien longtemps disparue, est néanmoins restée dans la postérité en raison de sa participation bien involontaire dans cet affrontement.

Malheureusement que peut faire un petit village face à la force armée des renforts, l’arrestation de notables protestants ?

Et le lendemain de ce jour mémorable, le temple de Sainte-­Croix est entièrement détruit, rasé à sol et le village se retrouvera sans lieu de culte réformé officiel pendant 1 siècle et demi. Il faudra attendre le Concordat pour qu’en 1806 l’église du village soit divisée en deux pour accueillir les deux cultes.

Danièle LEBAILLIF, avec l’aide de Jean-­Luc PRINTEMPS et Charline LEFEVRE, les passionnés d’histoire de Sainte­-Croix

Valdec’Quint, un brin d’histoire

Valdec’Quint, un brin d’histoire

A l’occasion du trentième numéro de la revue, et sur la suggestion de plusieurs adhérents, il nous a semblé intéressant, à travers cet article, de jeter un regard sur le passé pour se tourner vers l’avenir avec confiance et volonté d’entreprendre. Peut-être ne recueillerons-nous pas ce que nous avons semé, mais ceux qui nous succèdent récolteront pour nous. Nous vivons tous sur les épaules de nos prédécesseurs dans l’aventure humaine.

En 2006 a été créée avec des membres du conseil municipal de St Julien en Quint et de concitoyens intéressés une Commission de Développement ayant pour but, les aménagements urgents étant en voie de réalisation, d’allonger le regard pour imaginer un avenir pour la commune et les jeunes qui ne peuvent pas tous reprendre une exploitation agricole.

A titre d’exemples, en août 2006, un programme de formation aux Techniques de l’Information et de la Communication couplé avec un accueil en gîtes et un programme touristique, des cours d’informatique financés par le Parc du Vercors, une pré-étude sur la diffusion des produits agricoles de Quint par e-­commerce pour sortir de la pression sur les prix exercée par les acheteurs des grandes surfaces et même par les coopératives qui en dépendaient.

La Commission de Développement avait également imaginé un programme culturel avec un journaliste-­marcheur, Philippe Lemonnier, séjournant à Quint appelé “ les mardis de Saint­-Julien “. Il consistait à réunir tous les deuxièmes mardis du mois, les personnes intéressées dans la salle communale bien équipée en moyens audiovisuels pour assister à une conférence du Collège de France ou du Conservatoire des Arts & Métiers sur des sujets variés : visite virtuelle de grands musées, astronomie, histoire… avec un spécialiste (il n’en manque pas dans le Diois) pouvant répondre aux questions posées par la suite. Un sondage effectué a montré que les habitants de Die semblaient plus intéressés que les concitoyens sur place.

Entre 2007 et 2008, la commune acquiert un bâtiment pour accueillir l’EPI, privilège à l’époque pour un village de cette taille, et pour réaliser 2 appartements destinés en priorité aux personnes souhaitant créer une activité et des emplois dans les bureaux de la mairie.

Le 11 Décembre 2009, le dossier ÉPI ayant été validé par les financeurs, une réunion de la Commission de Développement sur le fonctionnement de cet ÉPI et décide qu’une association serait la structure la mieux adaptée pour gérer le local et accompagner le projet. C’est la naissance après un accouchement sans problème de Valdec’Quint : Valorisation par l’Animation Locale du Développement Economique et Culturel de la Vallée de Quint.

Cette association prend corps assez rapidement avec l’arrivée de Mehdi NAÏLI et le lancement sous l’impulsion de Josiane BROCAULT, Alain GUILLET et Jean-­Claude MENGONI et d’une équipe de rédaction de la gazette baptisée “Feuille de Quint“. La plume alerte et riche d’humour de Jean-Claude nourrit les éditoriaux et des articles variés informent les habitants de la vallée des événements présents et à venir. La Feuille de Quint relate aussi des tranches de l’histoire locale grâce à des enquêtes, des auditions de témoins souvent très touchantes, des enquêtes, de la documentation. La distribution aux habitants est effectuée dès le premier numéro par des bénévoles. La Feuille rencontre un accueil intéressé dans les communes et bénéficie de la bienveillance des Maires et des Conseils Municipaux qui la soutiennent par des subventions.

De 2010 à 2013, c’est Jacques GUILLEMINOT qui est Président de Valdec’Quint et met en place les activités avec l’aide de Mehdi et à partir de 2011 avec une Co-­Présidente très active, Maryline WOLF-­ROY. Cette  dernière prend la Présidence en 2013, avec Alice BRUANT pendant un an. Des décisions importantes sont prises comme le changement des statuts et l’embauche en Juillet 2013 de Juliette PINAULT. L’association reçoit l’agrément Espace de Vie Sociale (EVS) de la CAF, une reconnaissance publique pour le travail effectué et les projets à venir.

[su_box title=”3 axes de développement sont fixés :” style=”soft” box_color=”#424C71″ title_color=”#FFF4BD”]

  • Axe 1 : accès aux droits
  • Axe 2 : solidarité
  • Axe 3 : lien social
  • [/su_box]

L’année 2014 est fertile en événements : le lien social (axe 3) a été prédominant avec la Fêtes des enfants, la boum des enfants de l’école de Quint, l’organisation des marchés Bee Ô Festifs à Ste-Croix, un mois de Décembre pas comme les autres, jeudis après-midi, jeux de cartes, pendant l’hiver avec les personnes âgées de la vallée, passage du cirque Cir’Qule. L’axe 2 solidarité, se traduit par les commandes groupées de produits biologiques, les débats citoyens, la rédaction et la diffusion gratuites de la Feuille de Quint dans tous les foyers de la vallée. Enfin, l’axe 1 accès aux droits se concrétise par l’assistance et les conseils conseils informatiques.

En 2015, sous la Présidence de Maryline avec Alain BUCAS et Michel TUZ Co­-Présidents, sont mis en place les Ateliers d’éveil musical parents enfants avec le concours d’Isabelle PERRACHON ainsi que les Cours de percussion africaines. Autres événements: Projections itinérantes de films, fête des enfants à Vachères-­en-­Quint, marchés Bee Ô Festifs à Ste­-Croix, Troc de fringues, Stage arts-­plastiques / éveil musical / danse, apéro beaujolais nouveau, mois de décembre pas comme les autres, rencontre parentalité, atelier couture.

Avec Maryline et Alain en 2016, on assiste au renouvellement de l’agrément de la CAF, à l’arrivée de Tim, à la création de la commission Gratte la Terre qui s’ajoute aux activités déjà existantes ; parmi elles, le mois de décembre pas comme les autres qui comporte 11 événements proposés et 158 participants au total. L’animation des marchés Bee Ô Festifs est abandonnée ; Juliette prend un congé maternité.

En 2017, Maryline quitte la Présidence et Damien HENSENS lui succède avec la coprésidence de Baby ROBINNE et d’Anabelle MICHELIN pour 1 an. L’activité ne faiblit pas, loin de là. Retour de Juliette avec Tim. On peut citer la soirée démocratie participative, les projections itinérantes, le troc de fringues, le programme culturel estival avec 6 spectacles, une randonnée artistique avec l’association Art & Montagne ainsi qu’un jeu Contraintes et libertés, mois de décembre pas comme les autres, chantiers avec l’association holosophique de France qui séjourne chaque année dans la vallée, des achats groupés (produits bio, huile d’olive, compost).

Un important travail sur la gouvernance a été réalisé en 2017 donnant lieu à une organisation plus horizontale avec la création de diverses commissions animées par des responsables qui rendent périodiquement compte de leurs initiatives lors des réunions du conseil d’administration. Sont mises en place les Commissions Gratte la Terre, Pilotage, Bibliothèque, Itinérance dans les communes.

Le dynamisme et l’activité passées de Valdec’Quint laissent augurer un avenir riche en initiatives, en dévouement et en réalisations pour le bien commun. Notre reconnaissance et nos vœux de réussite accompagnent l’équipe qui travaille dans cette voie.

Gérard DELLINGER
avec le concours de Juliette, de Mehdi et de Tim

 

Assemblée Géniale de Valdec’Quint 2018