Marseille. L’Estaque. D’un côté
la mer, de l’autre les collines.
La feuille de Quint part à la
rencontre de nouveaux habitants de la vallée. Aujourd’hui, ce sont
Manu et Gisou qui m’accueillent dans l’atmosphère lumineuse et
poétique de leur jolie maison à St-Andéol, pendant que leur fille
Louise est à l’école de St-Julien-en-Quint. Rencontre avec une
petite famille qui arrive de Provence.
« On était vraiment bien, dans
notre petite maison au bord de la mer. Un cabanon dans le jardin
faisait office de gîte urbain. On avait un petit potager. On partait
très souvent marcher dans les collines, et tous les soirs on
mangeait au bord de l’eau… ».
Depuis quelques temps déjà, l’envie
de changer d’environnement pointe le bout de son nez. Pour être
entourés de nature, goûter à l’espace, au silence, au blanc…
Gisou raconte d’un air amusé : « J’ai
grandi dans la nature. Un jour, je suis venu faire un stage de
reconnaissance des plantes au Monastère de Ste-Croix. J’ai découvert
la vallée de Quint. J’ai su tout de suite que c’était là qu’on
allait venir habiter ».
Gisou est peintre. Dans l’art, elle
aime l’idée de transformation. Elle transforme. Elle me rappelle
dans un sourire que dans l’expression « arts plastiques »,
le terme « plastique » vient du latin plasticus
qui signifie « modelé », « formé ». Elle
aime transformer ce qui préexiste et travaille beaucoup avec des
cartes, des tissus… Aujourd’hui, la maison est rénovée, il reste
l’atelier à mettre en place pour se remettre à travailler !
Manu est musicien. Depuis 20 ans, il
explore la diversité des univers musicaux avec sa contrebasse à
deux facettes. Il peut l’accorder de deux manières différentes, en
changeant toutes les cordes de place et en utilisant l’extension du
manche qu’il a fait faire par un copain luthier. Ça lui permet
d’avoir deux sonorités, deux timbres bien différents, l’un tirant
plus vers le violoncelle, l’autre vers la contrebasse lorsqu’elle
doit prendre réellement une place de basse. Il aime la
diversification, et goûte aux différents projets qu’il suit avec la
même authenticité. Il a prévu d’organiser d’ici la fin de l’année
un concert de soutien à l’école de St-Julien-en-Quint, avec de
nombreux musiciens de la vallée. Belle rencontre en perspective…
Ils aiment sortir, cueillir et mettre
dans l’assiette ce que la nature leur offre sur le chemin. Le monde
végétal est bien différent ici de celui ils connaissaient en
Provence. Les brocolis sauvages apparaissent avec les pissenlits.
Mais ici, apparemment, pas de blettes sauvages…
Quant à Louise, je n’ai finalement pas pu lui poser une question sur son arrivée dans la vallée de Quint, mais je sais qu’elle vient tout juste de fêter ses 8 ans !! Alors, bon anniversaire Louise. Et bienvenus à vous, petite famille !
Si vous avez déjà
fait le circuit de randonnée de la crête de Ramiat (918 m) qui
domine Ste-Croix, vous avez dû entrevoir la maison de Pallaire, à
l’écart, au bout de son chemin, à 750 m d’altitude. C’est un
petit coin éloigné de tout, à environ 6 km du centre de
Sainte-Croix, perdu dans la montagne. Pour atteindre la ferme, 2 km
de route jusqu’aux Guillots (l’Eguillot maintenant …) puis 4 km
de piste, ancien chemin de charrette que seuls les 4×4 avec
chauffeurs expérimentés peuvent à présent emprunter. C’est là
qu’a vécu Marcelle pendant 5 ans, de 7 à 12 ans, de 1936 à 1941.
La petite Marcelle
voit le jour à La-Clastre le 20 octobre 1929. Son père et sa mère
sont propriétaires au hameau de Ramières, une famille heureuse de
trois enfants, Marcelle, son grand frère et sa petite sœur. Rien ne
prédestinait Marcelle à venir vivre sur Sainte-Croix, sauf qu’un
jour un drame se produit. Son papa décède à l’âge de 31 ans de
la tuberculose. Marcelle a 2 ans, son frère 5 ans et la petite sœur
vient de naître.
La famille meurtrie
quitte La-Clastre pour venir à Sainte-Croix se réfugier chez la
grand-mère maternelle qui habite aux Guillots.
Cinq années
passent, la famille se remet peu à peu et sa maman va bientôt se
remarier avec un veuf qui a déjà 2 enfants. Ils sont donc sept à
présent et vont devoir prendre des décisions. En effet, la
grand-mère peut difficilement accueillir tout ce petit monde. Le
grand père de Marcelle avait acheté une maison à Pallaire en 1927
et, cette maison étant disponible, c’est là que la famille va
s’installer et va s’agrandir … jusqu’à 12 enfants.
Les naissances se
feront à la maison où la sage-femme vient assister la nouvelle
mère. Mais elle ne peut surveiller l’accouchement que si le temps
est suffisamment clément et si elle est prévenue à temps, or c’est
bien connu les petits ne s’annoncent pas toujours longtemps à
l’avance … Dans ce cas, il faut se débrouiller seul, mais la
santé est bonne et heureusement tout se passe bien.
La maison paraît
grande, mais à l’époque elle n’a que 2 pièces. La grande
cuisine qui est aussi la pièce de vie a une alcôve qui est la
chambre des parents. A côté se trouve une petite pièce qui héberge
les petits qui vont y dormir à 4 ou 5 dans le même lit où ils se
tiennent bien au chaud. Et au dessus se trouve le grenier, un grand
galetas qui devient le dortoir des grands.
Pas d’eau
courante, mais un bassin relié à une source qui heureusement ne
tarit pas, bien que le débit devienne assez faible en été. Alors
la maman de Marcelle attelait le cheval au tombereau, entassait le
linge de la quinzaine, descendait à la Sûre et passait sa journée
à faire la lessive. On peut imaginer le tas de linge de 15 jours
pour une famille de 14 personnes … Elle remontait le soir à
Pallaire exténuée.
On s’éclairait au
moyen de lampes à pétrole. Attention à ne pas mettre le feu au
galetas !… Mais à l’époque on vivait comme les poules, au
rythme du soleil. On se couchait et on se levait avec lui.
La famille avait un
troupeau de brebis, 2 à 3 vaches, un cheval, des chèvres, un
cochon, des poules et des lapins. Les machines agricoles n’étaient
pas arrivées à Pallaire, tout était donc fait à la main.
Les parents
assuraient les gros travaux. Ils bûcheronnaient pour assurer le
chauffage durant l’hiver, coupaient et entassaient le foin,
cultivaient aussi quelques maigres céréales pour nourrir les bêtes
et aussi pour notre pain que nous cuisions dans le four à pain qui
est toujours là aujourd’hui. Ils s’occupaient des bêtes,
tiraient le lait des quelques vaches, des chèvres et des brebis,
faisaient le beurre et les fromages qu’ils vendaient à des
magasins de Die. La livraison de ces marchandises était faite à
bicyclette, mais, comme monter à Pallaire à vélo était
impossible, la bicyclette était remisée chez la grand-mère aux
Guillots. Pas vraiment simple !…
Le travail des
enfants étaient de garder le troupeau, mais ils aidaient aussi pour
ramasser le foin car il en fallait pour nourrir toutes les bêtes
durant la saison froide surtout qu’à l’époque les hivers
étaient beaucoup plus froids, duraient plus longtemps et étaient
plus enneigés qu’aujourd’hui, surtout à l’altitude de
Pallaire … Et puis les grandes filles, dont Marcelle, devaient
s’occuper des plus petits pendant que leurs parents vaquaient à
leurs multiples et rudes activités.
On comprend mieux
pourquoi Marcelle n’allait pas à l’école tous les jours.
C’était à tour de rôle que les enfants s’y rendaient car deux
grands devaient absolument rester à la ferme pour aider les parents.
Et quand le temps était trop mauvais ou quand il y avait de la
neige, il était tout bonnement impossible de descendre au village …
Alors le niveau scolaire des enfants n’était pas très bon !
Pour aller à
l’école, la descente (6 km) était assez facile. Il fallait se
lever tôt pour être à l’école à 8 heures et demi et retrouver
les petits copains. Mais le soir, la remontée était dure. Il
fallait 2 heures pour retourner à Pallaire avec une bonne, grosse
montée, un dénivelé de 350 m, et surtout après une journée bien
remplie. Marcelle s’en souvient encore …
Les 3 premières
années de sa vie à Pallaire, Marcelle allait à l’école du
couvent de Ste-Croix où des sœurs en civil faisaient la classe, et
les 2 dernières années elle est allée à l’école publique. Mme
Soubeyran était la maîtresse, elle habitait Die et venait tous les
jours faire l’école à Ste-Croix. Marcelle se souvient qu’un
matin de neige, le car ne circulait pas. La maîtresse était venue à
pied de Die et elle était même arrivée à l’heure …
Il n’y avait pas
de cantine à l’école, alors, à midi, les garçons montaient aux
Guillots se nourrir chez leur grand-mère et les filles restaient au
village accueillies et nourries par la famille CLEMENT.
Et à 4 heures et
demi, à la fin de l’école, les enfants remontaient sur Pallaire,
sauf que l’hiver les journées sont courtes, la nuit tombe vite et
le temps change rapidement. Lorsqu’on avait pu descendre à l’école
le matin, il était parfois impossible de remonter le soir et ils
allaient alors coucher chez leur grand-mère. Il n’y avait pas
moyen de prévenir les parents à l’époque. Ils s’en doutaient
bien sûr, mais n’en avaient aucune confirmation …
Là-haut, pas
question d’être malade ou de se blesser. Marcelle se souvient que
le grand frère s’était vu confier la tâche de fendre du bois.
Jusque là rien d’inhabituel, il l’avait déjà fait et s’en
était toujours très bien sorti. Sauf que cet après-midi-là, la
hache maniée avec vigueur avait ripé sur un nœud et avait fini sa
course … sur le genou du son petit assistant qui lui passait le
bois et l’entassait ensuite, une fois fendu, sur une pile bien
rangée. Une belle balafre, pas très profonde, mais sérieuse et
qu’il était nécessaire de recoudre et soigner rapidement selon
les premières constatations de la maman affolée. Le papa était
parti jusqu’au soir avec le cheval et donc il n’y avait aucun
moyen pour transporter le petit blessé. On lava la plaie, on la
recouvrit et on attendit sans avoir le nécessaire pour calmer la
douleur, vive puis lancinante. A la nuit tombée, lorsque le père
rentra à Pallaire, il faisait trop sombre pour partir sur ce chemin
dangereux alors on attendit encore … Le lendemain, dès les
premières lueurs, on emmena l’enfant à l’hôpital où il fut
immédiatement pris en charge par un médecin qui le recousit, mais
sans aucune anesthésie. Les produits anesthésiants manquaient en ce
début de guerre et étaient réservés aux soldats du front …
Marcelle se souvient
encore … Elle avait dix ans quand un jour sa mère constata que la
farine pour faire le biberon du bébé allait manquer. Elle lui donna
de quoi prendre le car au Pont pour aller chercher cette farine à
Die et la petite partit. Malheureusement en arrivant au pont,
Marcelle constata que le car venait de partir sans elle. Que faire ?
Le bébé avait vraiment besoin de cette farine pour son biberon du
soir. Alors courageusement elle partit à pied jusqu’à Die. Elle
acheta la farine pour bébé et alla manger chez une tante qui eut la
gentillesse de l’accompagner jusqu’au car de l’après-midi.
Arrivée au Pont, elle remonta vite à Pallaire pour que le petit
puisse savourer son biberon du soir. Durant cette escapade d’une
journée, Marcelle avait parcouru une vingtaine de kilomètres avec
ses petites jambes de dix ans. Il faut espérer que le petit frère
ait apprécié son biberon …
La famille a quitté
la ferme de Pallaire en 1941 en pleine guerre pour rejoindre des
lieux plus … civilisés avec des commodités, des écoles proches
pour accueillir tous les plus petits qui arrivaient à l’âge
scolaire, des contacts autres que celui des quelques promeneurs et
chasseurs qui s’aventuraient là-haut. Un domaine de 30 ha à
Marsanne leur a ouvert ses portes, plus rien à voir avec leur vécu
des 5 dernières années. Mais c’est là que nous quittons
Marcelle.
Pallaire a été un
havre pour la famille après des épisodes très douloureux et leur a
offert une vie dure, sans commodités, mais Marcelle en a gardé
beaucoup de nostalgie et de souvenirs que ses yeux d’enfant ont
enregistré à jamais. Pallaire, ce fut toute son enfance !
Propos de Marcelle ARBOD recueillis par Danièle Lebaillif
Sainte-Croix : la maison des Sœurs devient Le Veyou
Un programme immobilier est en cours en partenariat avec DAH (Drôme Aménagement Habitat) pour la réhabilitation de l’ancienne maison des Sœurs et la réalisation de 6 logements sociaux qui permettront à la commune de développer sa population et de garantir de ce fait la pérennité de son école.
Les travaux sont maintenant bien avancés
pour accueillir les nouveaux locataires dans une maison ancienne,
parfaitement intégrée dans le village et bénéficiant de tout le
confort.
La mairie de Ste-Croix a prévu de
s’installer au rez-de-chaussée du bâtiment.
Après une année de travaux, réunions
de chantier, concessions et négociations, l’ancienne maison des
sœurs a fait peau neuve.
il fallait lui trouver un nouveau nom,
c’est chose faite. Ce sera Le Veyou, du nom d’un des sommets de la
montagne mythique de la vallée de la Drôme, les 3 Becs (le Veyou
1589m, Le Signal 1559m et Roche Courbe 1545m). En effet le Veyou se
trouve en bonne place, face aux fenêtres de la nouvelle résidence.
La mairie de Sainte-Croix et les six
nouveaux locataires vont s’installer dans ce nouveau site d’ici mai
prochain.
Nous souhaitons la bienvenue aux nouveaux habitants et espérons qu’ils apprécieront le calme et la sérénité de notre petit village.
Danièle Lebaillif
Sainte-Croix revient sur le net : www.ste-croix-en-diois.fr
L’ancien site de Sainte-Croix avait malencontreusement disparu pendant plus d’un an. Il a fallu trouver des bonnes volontés pour le remplacer, mais à présent Sainte-Croix est de nouveau sur le net.
Si les
Sainte-Cruciens et les Sainte-Cruciennes ont des idées et
suggestions pour faire vivre ce site et l’enrichir, surtout qu’ils
n’hésitent pas à contacter la mairie ou Danièle LEBAILLIF (06 86
08 16 03 – lebaillif.daniele@orange.fr).
Le site ne demande
qu’à évoluer et s’adapter aux besoins du village.
Ste-Croix : Un après midi des TAP a été prise en charge par un habitant de Ste-Croix : Marc Poncet, passionné d’aéromodélisme. Il a préparé 2 ordinateurs avec des simulations de vol. Puis nous avons regardé un de ses avions voler, virevolter et…tomber… Avant de partager un goûter apporté par Jeanette, Sylvie et Colette. Merci à tous. Josiane
Océane :“Ça m’a plu, c’était rigolo de piloter un avion ! Je ne faisais que de le scratcher, il y a tellement de boutons pour piloter ! C’est compliqué quand même !” Nino :“Voilà les enfants de Ste-Croix, on regarde quelqu’un qui joue à l’avion.”
St-Julien-en-Quint : “ Être parent, ça s’bricole ! ” Par un beau soir d’hiver, une soirée toute spéciale s’est déroulée à St-Julien-en-Quint. Une soirée sans enfants, entre parents, pour discuter d’une thématique universelle “ La fratrie, entre calme et tempête ”. Soutenus par l’espace social et culturel du Diois (ESCDD), l’association Valdec’Quint s’organise pour proposer un espace d’échange et de partage autour de la parentalité. Un film était projeté, qui servait de base à la discussion… “ L’arrivée d’un petit frère ou d’une petite sœur, quels bouleversements ! Tant de choses changent dans les relations familiales. Jalousie, partage, dispute, jeux, complicité… Des regards croisés d’enfants, d’adolescents, de jeunes adultes et de parents viennent nous interroger sur la place de chacun des membres d’une famille… ” Partager, échanger sur nos joies et nos difficultés est un véritable chemin pour grandir dans notre rôle de parent. C’est un véritable soutien, à chaque étape, et un vrai plaisir d’être ensemble pour prendre du recul et s’éveiller ! Cécile P.
St-Andéol : – L’association Farandéol avait proposé une journée champignons, samedi 16 novembre. 11 cueilleurs, grands et petits – ce ne sont pas toujours les adultes qui en ont trouvé le plus – sont partis dans une combe de St-Etienne – et non … on ne dira pas où ! – à la recherche de chanterelles et pieds de moutons. Une gargantuesque omelette-champignons, agrémentée d’une non moins gigantesque polenta préparée par Jûrg, a été savourée par une quarantaine de participants lors d’un repas partagé et bien souriant. Bienvenue à l’édition 2017 !
– La mairie a organisé ce 16 janvier la traditionnelle galette des rois dans la grande salle des fêtes de St-Julien-en-Quint. Près de 80 personnes avaient répondu présents. Eric Bayart a longuement commenté les actions entreprise en 2015 (travaux d’enfouissement, …) et a présenté les deux gros projets qui seront mis en chantier en 2016 : l’assainissement, ainsi que la carte communale, qui feront l’objet de réunions de concertation avec l’ensemble de la population. Nous avons goûté ensuite à la galette et la clairette offertes par la mairie. Jc. Mengoni
Changement de nom pour l’Épi(libre) : C’est voté, acté et décidé, notre cher local de St-Julien-en-Quint, jadis appelé l’Épi, change de nom pour dorénavant s’appeler l’Épilibre. N’étant plus seulement un Espace Public Informatique, mais également un Espace de Vie Sociale, il était temps de faire évoluer cet acronyme qui caractérisait jusqu’alors notre local. Le nouveau nom, choisi en assemblée générale par les adhérents de l’association Valdec’quint, garde la base du mot Épi pour ne pas bouleverser les habitudes, tout en prenant une tournure nouvelle et plus personnelle. Peut-être que ce nouveau nom nous apportera aussi de nouveaux visages ? Au plaisir de vous croiser à L’Épilibre !!
L’équipe de rédaction s’étoffe : La feuille de Quint a failli disparaître cet hiver, faute de collaborateurs, d’où le retard de cette feuille. Heureusement, notre appel n’a pas été vain. Danielle Lebaillif et Josiane Brocaud, toutes deux de Ste-Croix, de même que Sarah DeCaumon, de St-Etienne et Cécile Pagès, de St-Julien-en-Quint, nous font le plaisir de rejoindre l’équipe de bénévoles. Signalons que Josiane était une des trois pionnières de la feuille de Quint en 2008. Un sympathique retour aux sources donc ! Nous le répétons pratiquement dans chaque publication : si vous désirez faire passer une information, écrire un article, signaler un événement,bref si vous voulez manifester un intérêt envers notre publication, il suffit de prendre contact avec l’association à feuilledequint@valdecquint.fr
Juliette et Tim ou Tim et Juliette : Et oui, vous avez vu son ventre s‘arrondir au fil des semaine et aujourd’hui Juliette, salariée “mascotte” de l’épi…libre est partie en congé maternité. Nous lui souhaitons un bon repos, mérité, une belle fin de grossesse et attendons la nouvelle de l’heureux événement avec impatience ! C’est aussi pourquoi, depuis début mars, vous avez pu croiser une nouvelle bouille à l’Epilibre, celle de Tim, souriant, chaleureux, il va nous accompagner pendant un an et prendre le relais de Juliette sur les dossiers en cours. Sois le bienvenu, Tim ! Et à toi la parole…
Autoportrait : Bonjour, Moi c’est Tim, le nouveau salarié de l’association Valdec’quint. Laissez moi me présenter rapidement : j’ai 28 ans et suis habitant de Marignac-en-Diois. Jusqu’à présent, je travaillais surtout dans le secteur agricole, notamment en Ardèche et en Isère. J’ai aussi été rédacteur d’articles spécialisés sur les pratiques agricoles innovantes. À présent, je suis ravi de pouvoir me greffer à l’équipe de l’association Valdec’quint. Je me réjouis de pouvoir travailler avec cette belle équipe, dans une si belle vallée, que je suis heureux de découvrir un petit peu plus tous les jours ! J’espère sincèrement que j’aurai l’occasion de rencontrer un maximum d’entre vous, habitants de la vallée ! Alors si le cœur vous en dit, n’hésitez pas à vous arrêter à l’Épilibre pour qu’on fasse plus ample connaissance ! À bientôt, Tim
Les Marchés Beeô Festifs : Cette année, les Marchés beeô-festifs prennent une année sabbatique ! En effet, cette édition ne pourra pas se faire à St-Croix à cause des travaux d’assainissement sur la place du village ne permettant pas d’en assurer la disponibilité cet été. Cependant, une équipe réfléchit déjà à l’organisation de la suite de l’événement pour les années à venir. En espérant vous y retrouver nombreux et nombreuses l’année prochaine !