La MAM, un beau projet solidaire sur le point d’éclore

La MAM, un beau projet solidaire sur le point d’éclore

C’est avant tout une histoire d’amitié, d’envies partagées et de réflexions mutuelles sur le monde de la petite enfance qui a tissé le lien entre 3 jeunes femmes, toutes les 3 mamans, Olivia Robinson, Tiphaine Saintrain  et Aude Chopart. Elles ont réuni leurs énergies et leur détermination pour imaginer, élaborer puis proposer et enfin mettre en oeuvre leur projet commun : la création d’une MAM (Maison d’Assistantes Maternelles). Celle-­ci sera située au col de Marignac et ouvrira ses portes en Octobre 2018.

C’est un projet de longue haleine pour lequel elles ont été soutenues à diverses étapes de leur entreprise par Christelle Arnaud-­Ribes du Relais d’Assistantes Maternelles du Pays Diois, Anouk Avons de la Communauté des Communes du Diois et Olivier Royer de l’Espace Social et Culturel Du Diois. Ils leur ont apporté leur écoute, leur expertise et mis à disposition des moyens logistiques et pratiques.

Depuis fin 2017, le projet est officiellement soutenu et porté par l’association ValdeQuint.

Après une licence en Relations Internationales et Développement Durable, Olivia Robinson, d’origine anglaise, avait le souhait d’œuvrer dans un domaine réunissant tout à la fois le monde de l’enfance et le
monde agricole. Après une première année riche d’expériences à la Ferme des Enfants en Ardèche, où elle a été invitée avec son compagnon par Sophie Rabhi et dont l’objet était d’animer des ateliers
pédagogiques, elle accueille l’arrivée de son premier enfant. Les futurs parents partent ensuite en Isère sur un projet agricole et collectif. Là, dans un petit village, elle y expérimente la garde parentale
partagée et le lien solidaire. Leurs occupations professionnelles leur faisant régulièrement traverser la Drôme, qui les attire par sa beauté et son mode de vie, ils finissent par déménager à Saillans, puis font
un passage par Die et enfin se posent à Marignac. C’est à Saillans qu’Olivia Robinson rencontre Laure Martin, la directrice de l’école de Véronne, à l’époque en plein montage de son projet.

 

[su_box title=”Une MAM qu’est-ce-que c’est ?” style=”soft” box_color=”#424C71″ title_color=”#FFF4BD”]C’est un regroupement de 2 à 4 assistant­e­s maternel­le­s, accueillant des enfants dans un lieu de vie qui leur est dédié et avec un travail en équipe. Chaque assistant­e maternel­le peut être agréé­e pour accueillir 4 enfants au maximum. L’assistant­e maternel­le est employé­e par les parents. [/su_box]

 

Laure Martin, intéressée entre autres par les compétences en anglais d’Olivia Robinson, lui propose de l’engager. Elle s’y investira pendant 3 ans et y retrouve Aude Chopart, avec qui elle s’était précédemment liée d’amitié, et dont une petite fille est scolarisée dans cet établissement qui s’appuie sur les principes de la méthode Montessori. Par ailleurs c’est à Marignac qu’elle fait la connaissance de Tiphaine Saintrain, enceinte de son premier enfant, alors qu’elle­ même commence une deuxième grossesse et avec qui elle mettra en place une garde parentale partagée.

Depuis son expérience à la Ferme des Enfants en Ardèche, Olivia Robinson avait l’idée en tête de créer son propre projet et de trouver une solution pour donner un accès plus aisé à des types de pédagogies alternatives. Elle partage ses réflexions avec Tiphaine. L’idée de la création d’une MAM fait tranquillement son chemin, d’autant que sa participation au conseil d’administration de Graine de Savoir, à Die, l’avait informée de la problématique de la garde d’enfants sur le territoire du Diois.

Aude Chopart de son côté avait déjà connu une initiative de MAM sur le secteur de Saillans-­Aurel mais qui n’avait pas aboutie. Elle était donc intéressée de se joindre à l’entreprise lancée par les 2 jeunes femmes d’autant qu’elle avait à cœur l’envie de participer à un projet depuis sa création. Titulaire d’un Bac littéraire avec langues étrangères, option arts plastiques ainsi que d’un BAFA, elle a également étudié dans le cadre d’un DEUG en Sciences du Langage et se forme comme fleuriste et en maroquinerie. Maman de deux petites filles de 3 et 6 ans, elle est Assistante Maternelle depuis 2016, en poste actuellement à la MAM de Gigors, après avoir exercé à domicile dans un premier temps. C’est lors de sa première grossesse qu’elle s’est particulièrement intéressée à la mé­thode Montessori et elle a donc fait une formation d’introduction à cette pédagogie à l’AMI dont elle obtient le diplôme d’Assistante Montessori pour les 0-­3 ans.

Issue d’une famille d’enseignants et d’éducateurs impli­qués dans de nouvelles démarches éducatives, elle a elle-­même enfant vécu pendant deux ans une expérience de pédagogie Freinet qui lui a laissé une empreinte durable et d’excellents souvenirs dont notamment le lien profond avec la nature et l’éveil d’un esprit curieux. Elle avait donc le désir de recontacter ce type d’expérience pour les intégrer dans son activité professionnelle et l’envie d’en faire bénéficier les enfants.

En effet des principes forts sont à l’origine de cette volonté d’œuvrer en commun :

  • Encourager l’autonomie, en favorisant la confiance en soi.
  • Apprendre à vivre ensemble, en valorisant les expériences de coopération.
  • S’émerveiller de la beauté et la richesse de la nature, en privilégiant les activités à l’extérieur.
  • Favoriser l’apprentissage par les sens en respectant les envies instinctives de l’enfant.
  • Explorer le mouvement, en offrant un environnement adapté et sécurisé.

Tels sont les axes clés qui se trouvent au cœur du soin et de la pédagogie que souhaitent mettre en oeuvre les 3 porteuses du projet, et qui fondent leur démarche.

Curiosité sensorielle et exploration du mouvement, voilà deux notions qui ne sont pas étrangères à Tiphaine Saintrain. Depuis l’enfance elle danse et s’est donc formée pour enseigner sa passion. Depuis l’adolescence, elle anime des centres de vacances et des classes découvertes pour enfants. De plus elle est musicienne et cette double compétence lui donne une vision particulière de la corporalité. A l’origine, un parcours plutôt urbain mais qui finira par déboucher sur un ressenti puissant et un besoin urgent de changer de cadre de vie. Tiphaine passe à Paris le Diplôme d’Etat d’Enseignement de la Danse et avant d’arriver dans le Diois à l’été 2014 pour s’installer au Hameau de La Croix. Elle est forte de son expérience de 7 années d’enseignement au sein de plusieurs écoles de musique et de danse à Marseille. Ses élèves ont entre 4 et 17 ans. Sa “double casquette” lui donne l’occasion de se former à la pédagogie Dalcroze, fondée sur la perception de la musique par la sensation et le mouvement. Cette combinaison lui donne la possibilité de travailler en binôme et d’explorer des projets d’équipe où elle savoure le goût du “faire ensemble”. A son arrivée dans le Diois, elle prend une pause et réfléchit sur la convergence de ses envies et des besoins du territoire et cherche une activité complémentaire à la danse. En attente de son premier bébé, lui vient alors l’idée de joindre les soins à son enfant à une activité professionnelle. Les discussions, échanges et
réflexions menés avec Olivia Robinson font émerger cette envie partagée de créer une MAM.

De gauche à droite : Tiphaine, Olivia, Aude, Charlotte et Aline

Une précision importante dans la constitution de l’équipe: Olivia Robinson est enceinte et ne pourra pas faire partie de l’équipe accueillante de la MAM avant septembre 2019. Deux personnes de confiance et d’expérience viendront donc compléter l’équipe pour cette première année de fonctionnement qui aura la possibilité d’accueillir un maximum d’une dizaine d’enfants.
Il s’agit de Charlotte Metral et Aline Dettring.

Charlotte est mère d’une petite fille de 5 ans et Assistante Maternelle agréée depuis 2013. Diplômée d’un CAP Petite Enfance, elle a également été Aide auxiliaire puéricultrice à la Maison de l’enfance du Grand Bornand en Haute Savoie et s’est formée à différents outils de communication : Faber et Mazlish, CNV, Accompagner les tout­-petits avec son enfant intérieur.

Aline, peintre et dessinatrice d’origine allemande, est mère d’un petit garçon de 2 ans. Elle a de nombreuses expériences professionnelles avec les enfants et est diplômée Assistante Montessori pour les 3­6 ans. Impliquée dans une garde parentale partagée sur Saillans, elle est en cours de demande d’agrément comme Assistante Maternelle.

Le projet de la MAM a été accueilli en février 2018 au sein de l’association Valdequint à la suite d’un séminaire organisé par l’association dont le résultat a fait ressortir la carence du territoire en matière d’accueil de la petite enfance. Valdequint a donc souhaité manifester son soutien à cette entreprise collective et citoyenne.
Nous vous donnons rendez­-vous dans la prochaine Feuille de Quint pour une présentation plus détaillée de la MAM “Curieux de nature” qui sera alors à la veille de son ouverture ! D’ici là , si vous souhaitez soutenir l’équipe porteuse de ce projet pour les dernières étapes qu’il leur reste à traverser, ou si vous êtes parents, à la recherche d’un lieu d’accueil pour votre enfant, n’hésitez pas à prendre contact avec elles !

Contact & Information :
Tiphaine Saintrain : 06 17 84 13 30 / tiphaine [arobase] valdequint [point] fr
Aude Chopart : 06 07 37 59 76 / aude [arobase] valdequint [point] fr
Courriel MAM : curieuxdenature [arobase] valdequint [point] fr

Site web (en construction) : mam.valdequint.fr

Sarah de Caumon

La MAM cherche ses locaux

À la recherche d’un lieu pour ouvrir au plus vite une MAM (Maison d’Assistantes Maternelles) !

Une MAM, c’est un regroupement de 2 à 4 assistantes maternelles agrées, accueillant des enfants (4 chacune au maximum) dans un lieu de
vie qui leur est dédié.
Étant donné, à ce jour, le fort déficit de solutions de garde pour les enfants en bas âge sur Die et ses alentours, cette MAM offrirait une solution non
négligeable pour une partie des familles. Nous souhaiterions pouvoir ouvrir en septembre 2018 et nous sommes donc actuellement à la recherche
d’un lieu.


Nous avons besoin de trouver rapidement soit un local d’environ 120m2 aux normes ERP avec un espace extérieur, à louer ou à vendre, soit un
terrain constructible ou à viabiliser. Le secteur visé prioritairement se situe entre Marignac et la Vallée de Quint, mais pourrait s’étendre jusqu’à Die et Pontaix.


Merci de nous faire parvenir toutes vos pistes plus ou moins concrètes pour nous aider !

Projet porté par : Aude Chopart, Olivia Robinson et Tiphaine Saintrain
Contact : saintrain.tiphaine@gmail.com / 06.17.84.13.30

CUMA citoyenne : comment faire du jus avec le matériel de Valdequint ?

CUMA citoyenne : comment faire du jus avec le matériel de Valdequint ?

Matériel nécessaire

Fouloir à petits fruits manuel (si raisin, cassis …)

Broyeur à pommes électrique (pour fruits durs)

Seaux (4)

Pressoir

2 stérilisateurs

Maniques pour manipuler les récipients chauds

Couteaux pour couper les gros fruits

Une clé de 13 (si utilisation du broyeur électrique)

Si possible un karcher (cela fait gagner un temps énorme au lavage)

Accès à l’eau pour nettoyer le matériel

Accès à des prises électriques (2 circuit de 15A mini)

Etape par étape

Stériliser vos bouteilles, et autres récipients … à l’aide d’un stérilisateur en les ayant préalablement remplis d’eau chaude

En parallèle, broyer les fruits dans le broyeur électrique (pommes) ou le fouloir manuel (raisin)

Récolter le « broyat » dans les seaux et les verser dans le pressoir

Presser les fruits dès que le pressoir est plein à 3/4. récolter le jus dans des seaux

Vider le jus dans le 2eme stérilisateur et assurer la pasteurisation à 72° pendant 15 minutes

Remplir les bouteilles, si possible encore chaudes, à partir du robinet du stérilisateur

Déguster

La presse

Table inférieure en acier, appelée maie, et sa vis verticale

Deux cages ajourées en 1/2 cercle bloqués par 6 goujons

Le mécanisme en fonte « écrou » et ses 2 butées pointues en acier

6 cales de bois de 30/5/5 environ et 2 billots de 30/20/20

2 sellettes de pressage en 1/2 lune, avec anse

1 levier en acier

Monter les cages ajourées sur la maie, pattes de blocage vers le haut

Les bloquer à l’aide des goujons de blocage

Vérifier que les sellettes de pressage en 1/2 lune pourront facilement s’introduire dans le cylindre formé. Si ce n’est pas le cas, centrer les cages dans la maie

Introduire les fruits à presser dans la claie. Poser les demi-lunes sur les fruits. Ensuite y poser 4 cales, enfin le 2 autres. Et enfin les billots en position verticale.

Visser le mécanisme en fonte et le faire descendre jusqu’à ce qu’il bute contre les billots. Introduire les butées métalliques pointues dans les encoches appropriées (celle face à soi: la pointe en bas à gauche, celle derrière la vis: la pointe en bas à droite. Pour dévisser, il faudra inverser le sens des butées)

Introduire le levier dans le mécanisme et actionner celui-ci par un mouvement de va et vient. Il est parfois nécessaire de bien pousser pour qu’il s’enclenche. Lorsqu’il est trop dur d’actionner le levier, laisser exprimer le jus quelques minutes et vous pourrez à nouveau gagner quelques crans. Renouveler l’opération autant de fois que nécessaire.

II est possible d’utiliser une étamine (toile à placer à l’intérieur contre les parois de la claie)

afin de filtrer le jus lors du pressage.

Le stérilisateur en quelques mots

Attention, la puissance des stérilisateurs est de 1800W. Une prise 10A est donc nécessaire. Si les 2 stérilisateurs sont utilisés simultanément, prévoir de les brancher sur des circuits séparés.

Pour stériliser les bouteilles ou autres récipients

Tourner le bouton de gauche « thermorégulateur » sur « ébullition »

Tourner le bouton de droite (durée) sur 10 minutes

Le stérilisateur va chauffer jusqu’à T° d’ébullition°, T° qui va être gardée pendant la durée programmée, et va ensuite s’éteindre automatiquement (la lampe rouge s’éteint)

Pour pasteuriser

Tourner le bouton de gauche « thermorégulateur » sur «75°»

Tourner le bouton de droite (durée) sur la durée minimum (l’idée est d’amener le jus à sa T° de pasteurisation pendant très peu de temps (pasteurisation « flash »)

Le stérilisateur va chauffer jusqu’à 75°, T° qui va être gardée pendant la durée programmée, et va ensuite s’éteindre automatiquement (la lampe rouge s’éteint)

Dès que la lampe s’éteint, mettre en bouteilles

Éventuellement, retourner les récipients jusqu’au « cloc ou pop » qui caractérise que la pression à l’intérieur des bouteilles est régularisée (mais je ne crois pas que ce retournement ait une quelconque utilité … mais comme ma maman a toujours fait cela …)

Mettre si possible les bouteilles au frigo pendant 1 journée pour empêcher tout développement ultérieur de bactéries

Conserver ensuite en un endroit frais, jusqu’à un an (et plus)

Utiliser le broyeur électrique

Puissance : 1350w soit lignes de 7Ah

A ne pas utiliser pour quelques kg seulement. Le nettoyage de la machine est ardu.

Ne pas y jeter de fruits avant démarrage du moteur. Les lames bloqueraient.

Le bouton rouge d’arrêt doit être tiré (assurer 1/8 de tour et tirer légèrement)

Mettre en route le moteur (switch 0 / 1)

Poser un seau sous la base de la trémie, là où le broyat va s’écouler

Jeter les pommes dans la trémie

Vider les seaux au fur et à mesure dans le pressoir

Pour arrêter le moteur, appuyer sur le gros bouton rouge

Nettoyer le broyeur électrique

Dévisser les 2 boulons à l’aide d’une clé de 13

Débloquer la base de la trémie et détacher la trémie du reste du broyeur

Protéger le moteur par des plastiques

Passer l’ensemble au karcher

Remonter la trémie. Veiller à ce que les boulons soient bien vissés. Celui de gauche doit assurer un contact avec un télérupteur présent dans le petit boîtier noir. Si ce contact n’a pas lieu, le broyeur ne se mettra pas en route

Après séchage complet de l’ensemble, tester que le broyeur se met en route

Si doute ou problème, vous pouvez appeler JC Mengoni – 04 75 21 26 34 – 07 67 27 47 67

Le matériel de la CUMA citoyenne vous est prêté gracieusement par l’association Valdequint.

L’association vous demande de le rendre en parfait état de propreté.

Merci

Une Assemblée géniale… et 10 bougies soufflées!

Une Assemblée géniale… et 10 bougies soufflées!

Samedi 10 octobre 2020 à 10h20, une bande de joyeux lurons chantent en tapant des mains devant la mairie de Saint-Julien-en-Quint… Eh non ce n’est pas le club de clowns, ou les supporters de la drômoise qui se seraient trompés de weekend, mais bien les participants à l’Assemblée Générale de Valdequint qui tentent de se réchauffer devant le café et les viennoiseries! Ils attendent en effet la fin du comité de pilotage de Valdequint et de ses partenaires afin de pouvoir entrer dans la salle des fêtes!

Difficile de résumer une assemblée générale en quelques mots, mais on peut en retenir la bonne humeur et la curiosité des participants pour les projets de l’association; la présentation des nombreuses activités de l’association en 2019, et des perspectives 2020 bien entamées! Entre la médiation numérique, la saison culturelle, les projets agricoles de Gratte la Terre, la Feuille de Quint, la MAM et les projets parentalité, les achats groupés ou la création de la toute récente commission “transition énergétique”, chacun a pu constater que personne n’a le temps de s’ennuyer, et qu’il est aisé de trouver un projet sur lequel s’impliquer! Et pour preuve, les quelques 175 adhérents comptés en 2019, et les 400 destinataires actuels de la lettre d’infos de l’association…

Départs et nouveau Conseil d’administration

L’assemblée générale s’est terminée sur une composition de Jean-Claude, qui, en apiculteur costumé, a fredonné une chanson en l’honneur de la commission Gratte la Terre et du départ de Pauline, qui en est la salariée référente, et qui quitte l’association à la fin de l’année… Et bien entendu sur la validation du rapport d’activités 2019 (accessible ici!), du budget prévisionnel 2020, et de la composition du nouveau CA de Valdequint! Parmi les nouveaux administrateurs, Nathalie Portaz, Valentin Bellot, Catherine Foret, Michèle Batisse… Tandis que Maryline Wolf, Françoise Bronchart, Gérard Dellinger, Olivier Royer, Damien Hensens et Florence Eldin rendent leurs tabliers pour cette année! Cette fin d’AG a également été l’occasion de rappeler que l’équipe de l’association s’agrandit avec une 3ème salariée, Marie Lopez, qui rejoint l’équipe mi-octobre, et la présence d’Amaëlle en service civique depuis mi-septembre!

10 ans fêtés malgré tout!

La majorité des festivités prévues pour ce weekend avait dû être annulée suite aux nouvelles mesures sanitaires de lutte contre le covid-19.

Mais il a été possible de maintenir le repas offert par l’association, et chacun a pu se régaler d’un couscous aussi local que possible! Avant de souffler les 10 bougies d’anniversaire de Valdequint sur un magnifique gâteau composé, chocolat et citron… Les participants ont également pu profiter de l’exposition de photos et d’archives prévue pour l’occasion, et même d’ajouter eux-mêmes les légendes manquantes de nombreuses photos…

Devant la salle des fêtes, le stand “Gratte la Terre” a pu accueillir quelques panneaux explicatifs des projets en cours: maraîchage, pépinière de fruitiers, CUMA citoyenne, rucher citoyen, fours à pain… ainsi que l’association des Jardins Nourriciers qui est venue proposer les légumes des jardins de Sainte-Croix! Quelques motivés ont même profité du pressoir de la CUMA et du raisin fraîchement récolté pour presser quelques litres de jus…

Enfin, la journée s’est terminée par un spectacle de théâtre conté proposé par Claire Alauzen “Le Chant des Mers”. Accompagnée de son accordéon, Claire a fait voyager le public sur le dos d’une tortue rouge géante à travers mers…

UN GRAND MERCI A TOUTE L’EQUIPE QUI S’EST MOBILISÉE POUR PERMETTRE QUE CETTE ASSEMBLÉE AIT LIEU DANS DE BONNES CONDITIONS, ET QUI A SU RENDRE CE MOMENT CONVIVIAL ET CHOUETTE!

Le cycle “Parentalité consciente” va débuter cet automne !

Le cycle “Parentalité consciente” va débuter cet automne !

Initialement prévu au début de ce printemps, le cycle de “Parentalité consciente” animé par Clémence Lataste aura lieu cet automne. En gardant la même organisation (participation sur 6 matinées, indissociables), il reste encore quelques places. Voici toutes les informations pratiques ci-dessous ainsi que la présentation des ateliers :

Lieu : à l’EpiLibre à Saint Julien en Quint.
Créneaux : Les mardis matin de 9h30 à 12h30 (sauf un lundi) avec 6 dates non dissociables : 29/09 + 13/10 + 27/10 + 10/11 + 23/11 (!! LUNDI !!) + 01/12

IMPORTANT : en cas, de “re-confinement” ou autre restriction de rassemblement physique, le Cycle sera maintenu en ligne (et si vous vous inscrivez cela implique que vous maintenez aussi votre inscription si le cycle se fait en ligne ; sauf exception à voir au cas par cas ensemble).

Participation financière : grâce au soutien financier de la CAF, nous proposons de participer à prix libre. Pour information : 80% est pris en charge par la CAF, 20% est à charge de l’association.

Contenu de la formation :

Qu’est-ce que la CNV (Communication Non-Violente) peut nous apporter en tant que parent ?

Ce processus permet de prendre conscience de nos modes de fonctionnement habituels et de leurs conséquences dans nos relations familiales (de couple et avec nos enfants) afin de créer un espace de choix dans nos manières de réagir aux défis du quotidien !
La CNV nous permet aussi d’apprendre à sentir et à apprivoiser nos émotions ainsi qu’à découvrir les magnifiques messages que ces émotions (de colère, craquage, débordement, anxiété, désespoir…par exemple !) nous apportent sur ce qui contribue ou non à notre équilibre et à notre bien-être.


Qu’est-ce que nous souhaitons offrir pendant ce cycle d’ateliers ?

Un espace d’écoute pour que chacun.e puisse déposer et être entendu sur ce qui pèse dans les relations familiales.
Une reliance avec d’autres parents qui traversent des difficultés proches des nôtres et avec qui on peut se sentir résonner et être vus comme tout à fait «normal.e» ! ;p
Un cocon de douceur et de bienveillance pour les merveilleux parents que nous sommes déjà ! Un espace de compréhension, d’inspiration et de créativité sur les possibles manières de relationner en famille.


Animé par : Clémence LATASTE, formatrice en Communication Consciente
«Maman d’une petite fille de 2 ans, initialement formée en Sciences Politiques et en cours de certification en Communication NonViolente, j’ai à coeur de transmettre des démarches permettant à chacun de vivre, d’interagir et de communiquer de manière authentique en préservant à la fois le lien à soi et aux autres. Passionnée de recherche en relations humaines, j’expérimente au quotidien les processus que je transmets.»

Le programme des 6 séances